Implication d’Algériens dans le terrorisme en Tunisie : Belaiz répond à Beji Caid Essebsi

e ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Tayeb Belaiz n’a pas souhaité, ce jeudi, commenter les propos du président Tunisien, Beji Caid Essebsi sur la présence d’Algériens à la tête des groupes terroristes.

« Je ne commente pas, je parle dans l’absolue », a déclaré M. Belaiz en marge d’une séance plénière au Séant. « Le terrorisme n’a pas de nationalité, n’a pas de pays, n’a pas de religion, n’a pas de couleurs et n’a pas d’humanisme. Son seul objectif est de tuer et de détruire. Il peut se manifester dans n’importe quel territoire et moi je ne fais pas de différence entre les terroristes quelques soient leurs noms ».Le 22 mars, le président tunisien avait déclaré dans une interview à Itélé qu’à chaque fois qu’un groupe terroriste est débusqué en Tunisie . Selon le ministre, « dans le terrorisme, il y a des terroristes algériens ainsi que des terroristes de toutes les nationalités ». «  Nous ne nions pas qu’il y a des terroristes algériens, mais aussi il y a des tunisiens, et même dans les pays européens il y a des terroristes », a-t-il dit. Ce jeudi, le ministre de l’Intérieur  tunisien a révélé que le chef du groupe ayant mené l’attaque contre le Bardo à Tunis était de nationalité algérienne.

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“Transmission culturelle et construction identitaire”

“Transmission culturelle et construction identitaire”

La maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a abrité hier, dans le cadre de la 8e édition du Salon Djurdjura du couscous et de la célébration de Yennayer 2965, un colloque sur la “Littérature de l’oralité dans le conte populaire : de la transmission culturelle à la construction identitaire”. Plusieurs conférences étaient au programme, notamment celle du Pr Zineb Ali Benali de l’université Paris 8, qui a présenté une communication intitulée “Ce que le conte dit sans dire. Pour une lecture archéologique”.
Selon elle, les contes, ces histoires dites par les femmes dans le cercle familial aux enfants, “plongent dans des profondeurs culturelles que l’on devine à peine, mais qui peuvent se révéler, par fragments, par ressemblance et par allusion, dès qu’on se fait archéologue de la culture.” Elle a également appuyé son analyse sur les propos de la célèbre écrivaine Taos Amrouche évoquant sa mère Fadhma Aït Mansour en exprimant sa “chance d’avoir en elle une admirable narratrice. J’entends encore sa voix inspirée…”. L’autre communication a été animée par le Pr Dalila Arezki de l’université Mouloud-Mammeri et a eu pour thème “Le conte en porte à faux dans sa double fonction antinomique”. Pour elle, “né dans l’imaginaire populaire, le conte, cette littérature d’abord orale, est le reflet du flux et du reflux de la vie des hommes qui ont existé jadis et qui l’ont véhiculé”, soulignant que dans la transmission du conte, “c’est toute la marque d’appartenance qui est préservée». Pour cette universitaire le conte a, entre autres,  une double fonction. “La première fonction consiste, d’une part, à entretenir des rapports privilégiés entre le conte et l’enfant via le conteur, et d’autre part, à favoriser son développement, au stade de l’enfance, de façon adéquate, chronologiquement sur les plans cognitifs, psychologique, pédagogique”, a-t-elle expliqué.

Quant à la deuxième fonction, elle  vise, selon le Pr Arezki, “d’une part, à forger la personnalité selon le modus vivendi en vigueur dans la société à laquelle l’enfant appartient et à modeler son comportement en vue d’une insertion sociale stéréotypée conforme aux archétypes sociaux, d’autre part, à lui inculquer une vision du monde calquée sur des principes manichéens”. Seulement, “il parait, au regard de cette deuxième fonction du conte, en porte faux avec le premier, que dans la société, et par la société, l’identité est assignée dès le plus jeune âge à chacun des membres ainsi assujettis», c’est pourquoi, “il y a donc lieu d’être vigilant quant à l’impact du conte et à ses conséquences sur l’enfant dans ses modes de réflexions, d’action et, par la suite, sur son devenir en qualité d’être au sein de la société”

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Alger

L’établissement Arts et Culture célèbre Yennayer

  • Du 13 au 19 janvier à partir de 11h à la bibliothèque multimédia Agha (5, rue de la gare Agha, Alger), exposition de gâteaux traditionnels réalisés par Mme Mekhalfia, et de tenues traditionnelles réalisées par Dalila Brinis.
  • Demain à 13h30 à la bibliothèque multimédia Agha, conférence de Ferhati Berkahoum autour de son ouvrage Les costumes de Bousaâda.Vente-dédicaceBenatia Abderrahman dédicacera son ouvrage L’influence de l’islam et des livres révélés (éditions Dar Houma), jeudi 15 janvier à partir de 14h30 à la librairie El-Ijtihad (9, rue Hamani, Alger).
  • Hmida Ayachi signera son ouvrage Les années Chadli 1978-1992 (éditions Socrate), samedi 17 janvier, de 14h30 à 18h, à la librairie internationale Aurassi Omega.

Table-ronde

  • Dans le cadre des tables rondes thématiques que l’Institut national d’études et stratégie globale (INESG), Fatma Oussedik, professeur à l’Institut de sociologie d’Alger, animera une table ronde qui portera sur “Les questions relatives aux identités humaines”, lundi 19 janvier à 14h au sein de l’Institut (Route Les Vergers, BP 137, Birkhadem, Alger).

Café littéraire

  • Le sociologue Lahouari Addi, auteur de L’Algérie et la démocratie, et Djamel Zenati, préfacier du même livre, animeront un café littéraire, samedi 17 janvier à 14h au théâtre régional Malek-Bouguermouh de Béjaïa.

Cinéma

  • Jusqu’au 31 janvier (sauf les 18 et 25) à la salle El-Mouggar, projection du film L’héroïne de Cherif Aggoun, à raison de 4 séances par jour : 14h, 16h, 18h, 20h.

Projection du documentaire

  • L’Algérie, son cinéma et moi de Larbi Benchiha, demain à 15h à l’Institut français d’Alger. Réservez vos places à l’adresse suivante : cinemalalgeriesoncinemaetmoi@if-algerie.com.

Projection du documentaire

  • Mohamed Chouikh, un cinéaste résistant de Larbi Benchiha, demain à 18h30 à l’Institut français d’Alger.

Expositions

  • Jusqu’au 16 janvier au complexe culturel Abdelouaheb-Selim de Chenoua-Tipasa, exposition de Laidi Tayeb intitulée “Houroufiyat”.
  • Jusqu’au 15 janvier 2015 à la galerie d’art Asselah-Hocine (sise à Rue Asselah Hocine, Alger), exposition de l’artiste peintre Mourad Abdellaoui.
  • Jusqu’au 20 janvier 2015 à l’Institut Cervantes (9, rue Khelifa Boukhalfa, Alger), exposition sur les principaux gisements de l’évolution humaine dans la région littorale occidentale de l’Algérie. Les horaires de visite à confirmer à la réception de l’Institut
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Nouveau métro, nouvelles connexions pour la ville d’Alger

Nouveau métro, nouvelles connexions pour la ville d’Alger

La ville d’Alger se transforme. La capitale de l’Algérie commence à se doter d’un système de transport public à la hauteur d’une agglomération de plus de 6 millions d’habitants. Le métro, ouvert fin 2011, est en pleine expansion, avec Lafarge à son bord !

Comme dans de nombreuses villes en croissance rapide, la circulation automobile à Alger est souvent difficile. Le premier projet de métro date pourtant de… 1928 ! Mais il a fallu attendre 1981 pour que le projet soit lancé, et 2011 pour qu’enfin, la capitale algérienne devienne – et la deuxième d’Afrique, après Le Caire. 

Comme dans de nombreuses villes en croissance rapide, la circulation automobile à Alger est souvent difficile. Le premier projet de métro date pourtant de… 1928 ! Mais il a fallu attendre 1981 pour que le projet soit lancé, et 2011 pour qu’enfin, la capitale algérienne devienne la première ville du Maghreb dotée d’un métro – et la deuxième d’Afrique, après Le Caire.

Cette fois, le mouvement était bien lancé. À peine ce premier tronçon de 9,5 km inauguré que la ville a lancé les travaux de trois extensions. Totalisant 9,2 km, elles relieront des quartiers du centre-ville – notamment la Casbah et une partie de Bab El Oued – et de la périphérie à forte densité démographique, aujourd’hui mal desservis.

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